Star Academy 2025 : « C’est l’éval de la gênance », le comportement glaçant d’un professeur traumatise les élèves

L’aventure Star Academy est connue pour ses montagnes russes émotionnelles, mais ce qui s’est passé ce lundi 15 décembre au château dépasse le cadre de la simple compétition. Après le départ déchirant de Léo samedi dernier, les neuf académiciens encore en lice devaient se replonger immédiatement dans le travail avec une épreuve redoutée : l’évaluation a cappella. Si l’exercice technique était déjà une montagne à franchir, c’est le comportement inattendu d’un membre du jury qui a fini par plonger les élèves dans une confusion totale.

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Le défi de l’extrême : chanter sans filet

Chanter a cappella est sans doute l’exercice le plus ingrat pour un artiste en devenir. Sans l’appui d’un piano ou d’une bande instrumentale pour masquer les approximations, la voix se retrouve à nu. Pour cette semaine cruciale, les enjeux sont dédoublés : il ne s’agit plus seulement d’éviter la nomination, mais de prouver sa légitimité après des semaines de fatigue accumulée.

C’est Léa qui a eu la lourde tâche d’ouvrir le bal. En s’attaquant au monument Set Fire To The Rain d’Adele, la jeune femme espérait frapper fort. Malheureusement, la magie n’a pas opéré. Très vite, un sentiment de malaise s’est installé dans la salle d’évaluation, mais aussi dans le salon où ses camarades suivaient sa prestation sur écran.

« J’avais envie de me cacher » : Le naufrage de Léa

La gêne a été immédiate. Sans rythme pour la guider, Léa a semblé perdre ses repères, rendant l’interprétation longue et pénible pour l’assistance. Le verdict de ses pairs a été sans appel. Bastian, avec une franchise désarmante, lui a lancé : « C’est gênant à regarder, tu vas voir, c’est hilarant tellement c’est bizarre ». Mélissa, de son côté, n’a pas hésité à parler d’une « éval de la gênance ».

Pour la principale intéressée, le choc est rude. Léa a avoué avoir eu envie de tout abandonner en plein milieu de sa chanson. « C’est horrible ! Je voulais laisser tomber… J’avais envie de me cacher », a-t-elle confié, les larmes aux yeux, consciente que sa place dans l’aventure ne tenait plus qu’à un fil. Mais au-delà de sa propre performance, c’est l’attitude du jury qui a hanté les discussions du soir.

Jonathan Jenvrin : une statue de glace qui déstabilise

💥 Les élèves déstabilisés par l'attitude "bizarre" de Jonathan Jenvrin  pendant les évaluations - YouTube

Au centre de toutes les interrogations : Jonathan Jenvrin. Le professeur de danse, d’ordinaire très expressif, bougeant en rythme et encourageant les élèves d’un hochement de tête, a radicalement changé de méthode. Face à l’absence de musique, le chorégraphe a choisi de rester totalement immobile, le regard fixe et le visage fermé.

Ce silence corporel a agi comme un véritable poison pour les candidats. Anouk, pourtant habituée à briller lors des évaluations et très à l’aise devant les caméras, a été profondément perturbée : « Il était immobile, ça fait trop bizarre. D’habitude, il est comme ça [en mouvement]. Là, rien. » Cette absence totale de feedback visuel a créé un vide psychologique que les élèves n’ont pas su combler.

Une stratégie de déstabilisation orchestrée ?

Théo, un autre pilier de la promotion, a lui aussi ressenti ce malaise oppressant. « Il ne bougeait pas, je ne l’ai pas regardé une seule fois », a-t-il avoué, préférant fixer le sol plutôt que de croiser le regard de pierre de son professeur. Pourquoi ce changement soudain ? S’agit-il d’une consigne de Michael Goldman pour tester la résistance nerveuse des candidats à l’approche de la finale ? Ou Jonathan Jenvrin a-t-il simplement voulu souligner la nudité du chant a cappella par une attitude tout aussi dépouillée ?

Quoi qu’il en soit, cette séance a laissé des traces. Au lieu de sortir des évaluations avec un sentiment de progression, les élèves sont rentrés au château avec un sentiment d’insécurité grandissant. Le fossé semble se creuser entre des professeurs de plus en plus exigeants et des élèves dont les nerfs lâchent.

Le spectre des nominations plane sur le château

Après une telle journée, l’ambiance au dîner était loin d’être festive. Entre les rires nerveux provoqués par le “malaise” de Léa et l’angoisse générée par l’attitude de Jonathan Jenvrin, les académiciens savent que le verdict de Michael Goldman sera sans pitié. Les erreurs de justesse liées au chant a cappella, combinées à l’incapacité de certains à gérer la déstabilisation psychologique, pourraient conduire à des nominations surprises.

Alors que le prime de samedi se profile comme l’un des plus stressants de la saison, ce lundi noir restera comme le moment où le château a basculé dans une atmosphère de thriller psychologique. Qui saura transformer ce malaise en force lors du direct ? Les prochains jours seront décisifs pour l’avenir de la promotion 2025.

Souhaitez-vous que je vous aide à rédiger un post pour analyser les réactions des internautes sur cette attitude du professeur de danse ?

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