À 73 ans, Biyouna révèle ENFIN un secret choquant concernant ses 4 enfants. Pourquoi a-t-elle caché ses 4 enfants jusqu’à la fin ?

À 73 ans, Biyouna révèle ENFIN un secret choquant concernant ses 4 enfants. Pourquoi a-t-elle caché ses 4 enfants jusqu’à la fin ?

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Alger, le 3 décembre 2025 – Il y a des silences qui font plus de bruit que des explosions. Celui laissé par Biyouna, disparue le 25 novembre dernier à l’âge de 73 ans, est de ceux-là. Depuis une semaine, de Paris à Alger, les hommages pleuvent pour saluer l’artiste, la rebelle, la voix rauque qui a chanté les maux de deux peuples. Mais au milieu de ce vacarme médiatique, une vérité plus intime, plus troublante, commence à émerger des couloirs de l’hôpital de Beni Messous où elle a rendu son dernier souffle. Une vérité qui redessine entièrement le portrait de celle que l’on croyait connaître par cœur.

Une icône populaire, une énigme intime

Biyouna, c’était la proximité incarnée. C’était la voisine de palier, la tante excentrique, la femme qui disait tout haut ce que les autres pensaient tout bas. Sur les plateaux de télévision français, chez Ardisson ou Ruquier, elle imposait sa présence physique, son humour dévastateur et son franc-parler légendaire. Elle semblait transparente, sans filtre, livrant sa vie, ses amours, ses galères avec une générosité désarmante.

Pourtant, cette transparence était un leurre. Un tour de magie parfaitement exécuté pendant cinquante ans. Car au cœur de cette vie exposée sous les projecteurs, il y avait un trou noir, une zone interdite que nul n’a jamais franchie : ses enfants.

Oui, Biyouna avait quatre enfants. L’information, longtemps reléguée au rang de rumeur ou de ligne biographique oubliée, est aujourd’hui une certitude qui fascine autant qu’elle interroge. Comment une femme aussi publique a-t-elle pu garder secret l’existence même de quatre êtres humains pendant un demi-siècle ? Pas une photo de paparazzi, pas une apparition sur un tapis rouge, pas une mention dans une interview. Rien. Le néant.

Les indices d’une vie parallèle

Rétrospectivement, les signes étaient là, dispersés comme des miettes de pain que personne n’a pris la peine de suivre. Il y avait ces biographies sommaires des années 70 évoquant “un mari et quatre enfants” à Alger, avant que cette mention ne s’efface des dossiers de presse. Il y a eu cet incident étrange, en 2017, lorsqu’une photo granuleuse montrant une jeune Biyouna berçant un nourrisson avec une tendresse inquiète a surgi sur un forum avant d’être éradiquée du web en quelques heures. Une censure rapide, chirurgicale, qui trahissait une vigilance de tous les instants.

Et puis, il y a eu ces moments de flottement. Ces silences soudains en interview quand la question de la famille effleurait ses lèvres. Ce regard qui se durcissait, cette façon de détourner la conversation par une blague ou une chanson. En 2005, un technicien l’avait entendue murmurer en coulisses : “Le monde du spectacle détruit les gens qu’on aime.” À l’époque, on a cru à une réflexion philosophique sur la célébrité. Aujourd’hui, on comprend qu’il s’agissait d’un mode d’emploi, d’une règle de survie qu’elle s’était imposée.

Le plus troublant reste cet appel au secours fugace apparu sur Facebook en mars 2025 : “Je ne sais plus où est ma mère. Aucun appel ne passe. Aidez-moi.” Le message, signé d’un inconnu, a disparu aussi vite qu’il était apparu. Était-ce l’un d’eux, brisant pour la première fois l’omerta face à l’inquiétude de la maladie ?

Les derniers jours : le ballet des ombres

Biyouna : Le message effacé de sa fille et le mystère de ses 4 enfants  introuvables. - YouTube

La fin de vie de Biyouna, en cet automne 2025, fut à l’image de ce secret : verrouillée. Hospitalisée sous un nom d’emprunt dans une chambre isolée de l’hôpital de Beni Messous, elle a refusé les visites officielles. Pas de ministres, pas de collègues du show-business. La star voulait redevenir, pour quelques heures, simplement une mère.

Les témoignages du personnel soignant décrivent un ballet étrange et poignant. Des visiteurs nocturnes, le visage dissimulé, s’engouffrant dans sa chambre pour n’y rester que quelques minutes. Un jeune homme aux yeux rougis, une femme cachée derrière des lunettes noires murmurant “Elle me reconnaîtra”. Ils venaient prendre congé, non pas de l’icône, mais de la femme qui les avait aimés dans l’ombre.

L’atmosphère dans cette chambre 307 n’était pas celle d’une veillée funèbre publique, mais celle d’une réunion de famille clandestine. Biyouna, affaiblie, luttait pour chaque souffle, mais son esprit restait focalisé sur cette protection ultime. Une infirmière rapporte qu’elle répétait inlassablement : “Protégez-les. Ne les nommez jamais.” Jusqu’au bout, elle a tenu la porte fermée face à la curiosité du monde.

“Ils savent…”

C’est un ami proche, arrivé in extremis quelques minutes avant le décès à 4h37 du matin, qui a recueilli ses ultimes paroles. Une confession qui résonne aujourd’hui comme un testament moral : “Mes quatre enfants, ils savent. Je les ai tenus loin de la lumière, pas loin de mon cœur.”

Cette phrase dit tout. Elle explique le silence non pas comme un rejet, mais comme un bouclier. Biyouna connaissait la violence de la lumière médiatique. Elle savait que sa liberté de ton, ses rôles de femmes mûres et libérées, ses prises de position politiques, faisaient d’elle une cible autant qu’une idole. En Algérie comme en France, elle divisait. Exposer ses enfants, c’était les condamner à porter le poids de son nom, à subir les jugements, les regards, peut-être les représailles.

Elle a choisi de les amputer de sa gloire pour leur offrir l’anonymat, ce luxe que les enfants de stars ne connaissent jamais. Elle a accepté de passer pour une femme sans attaches, voire une mère indifférente aux yeux de certains, pour qu’ils puissent grandir libres. C’est un sacrifice d’une noblesse rare : s’effacer en tant que mère aux yeux du public pour mieux l’être dans l’intimité.

Un adieu en catimini

Mort de l'actrice algérienne Biyouna à l'âge de 73 ans - Le Parisien

Les funérailles au cimetière d’El Alia, le lendemain de sa mort, ont confirmé cette volonté farouche. Alors qu’on attendait une foule immense, des chants, des youyous, il n’y a eu que le vent et le silence. Une dizaine de silhouettes, pas plus. Pas de caméras.

Parmi ces rares présents, il y avait sans doute ses enfants. Fondus dans le décor, anonymes parmi les anonymes, pleurant leur mère sans que personne ne puisse pointer du doigt “le fils de Biyouna” ou “la fille de Biyouna”. Ils ont respecté son dernier vœu : rester invisibles. Ils ont accompagné celle qui avait brûlé les planches toute sa vie, dans la fraîcheur discrète de la terre, sans spectacle, sans applaudissements.

L’héritage invisible

Aujourd’hui, alors que nous réécoutons ses chansons et revoyons ses films, le rire de Biyouna prend une autre teinte. On y décèle désormais une profondeur nouvelle. Cette force qu’elle dégageait n’était pas seulement du talent, c’était la force d’une lionne montant la garde.

Biyouna nous a donné son art, son énergie, sa folie. Mais elle a gardé pour elle ce qu’elle avait de plus précieux. Et peut-être est-ce là sa plus grande leçon. Dans un monde où tout se montre, où l’intimité est bradée pour quelques likes, elle nous rappelle que l’amour véritable se vit parfois dans le secret. Que protéger ceux qu’on aime, c’est savoir tracer une ligne infranchissable entre le bruit du monde et le silence du cœur.

Adieu l’artiste. Et respect, Madame la Mère. Vos enfants savent, et désormais, nous comprenons

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