MARINE LE PEN pulvérise APOLLINE sur sa PROPAGANDE anti-RN

C’est une séquence qui restera gravée dans les annales de la télévision politique française. Une confrontation brutale, sans filtre, où deux mondes se sont heurtés de plein fouet. D’un côté, Apolline de Malherbe, figure emblématique du journalisme parisien, issue, comme le rappelle cruellement la vidéo, d’une certaine élite médiatique. De l’autre, Marine Le Pen, plus offensive que jamais, venue non pas pour débattre, mais pour “pulvériser” ce qu’elle considère comme une propagande bien huilée.
Si vous pensiez assister à une simple interview matinale, détrompez-vous. C’était un véritable réquisitoire contre l’impuissance publique, un moment de vérité où les masques sont tombés. Accrochez-vous, car ce qui a été dit va bien au-delà des petites phrases habituelles.
Le “Tabou” de l’Immigration : La Contre-Attaque Foudroyante
Dès les premières secondes, le ton est donné. Apolline de Malherbe tente une approche insidieuse : Marine Le Pen aurait-elle “oublié” de parler d’immigration lors de son dernier meeting ? Serait-ce devenu un sujet tabou pour le Rassemblement National, en quête de respectabilité ?
La réponse de la candidate ne se fait pas attendre, cinglante et immédiate. “Pas du tout !”, rétorque-t-elle, balayant d’un revers de main la tentative de déstabilisation. Pour Marine Le Pen, l’immigration n’est pas un détail, c’est le cœur du réacteur, la fracture béante que le “système” tente désespérément de cacher sous le tapis. Elle le martèle avec une force tranquille : les Français savent. Ils savent que son projet est de limiter drastiquement ces flux qu’elle juge incontrôlables.
Mais là où l’échange devient fascinant, c’est quand Marine Le Pen sort de la rhétorique pour entrer dans le concret, le dur, le chiffre qui fait mal. Elle dépeint une France submergée, où la présence de clandestins n’est plus une exception mais une norme acceptée par un État démissionnaire. “On ne maîtrise plus rien”, assène-t-elle. Coût financier exorbitant, insécurité galopante, fracturation de la société : le tableau est noir, et elle refuse que la journaliste le repeigne en rose.
La Solution Radicale : Finir avec l’Appel d’Air
C’est ici que Marine Le Pen se distingue par une proposition qui a laissé le plateau de BFM TV en apnée. Fini le temps où l’on traitait les demandes d’asile sur le sol français, laissant le temps aux déboutés de s’évaporer dans la nature. Son plan est d’une logique implacable : les demandes d’asile devront être effectuées dans les consulats et ambassades de France à l’étranger.
“Ils ne pourront rejoindre la France que ceux qui auront eu l’autorisation”, explique-t-elle. C’est la fin du “fait accompli”. Aujourd’hui, comme elle le souligne justement, la demande d’asile est devenue une filière d’immigration clandestine déguisée. En délocalisant la procédure, elle coupe l’herbe sous le pied des passeurs et met fin à l’hypocrisie d’un système qui ne parvient à expulser personne.
Car la réalité des chiffres, exposée en parallèle de l’interview, est accablante. Avec un taux d’exécution des OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) qui stagne autour de 7%, l’État français est devenu la risée de l’Europe. Marine Le Pen appuie là où ça fait mal : pourquoi respecterait-on un pays qui ne fait même pas appliquer ses propres lois ?
Le Bras de Fer Diplomatique : “Il n’y aura plus rien !”
L’un des moments les plus forts de cet entretien reste sans doute l’échange sur les pays d’origine qui refusent de reprendre leurs ressortissants. Apolline de Malherbe, jouant l’avocat du diable (ou de l’impuissance diplomatique), demande : “Vous allez en faire quoi entre-temps ?”.
La réponse de Marine Le Pen est une leçon de realpolitik. Elle refuse la fatalité. Pour elle, un pays qui refuse de reprendre ses citoyens “indésirables” sur notre sol viole le droit international. Et face à cela, la réponse ne doit pas être la supplique, mais la sanction. “Il n’y aura plus de visas, il n’y aura plus d’aide au développement, il n’y aura plus de transferts d’argent”, menace-t-elle. Elle va même plus loin en évoquant l’interdiction pour les dirigeants de ces pays d’acquérir des biens immobiliers en France.
C’est une rupture totale avec la diplomatie feutrée habituelle. Le message est clair : la France doit se faire respecter, quitte à tordre le bras à ses “partenaires”.
Le Voile et l’Islamisme : L’Uniforme du Totalitarisme

Enfin, l’autre grand volet de ce “clash” médiatique concerne l’islamisme. La journaliste tente de piéger Marine Le Pen sur la question du voile, citant Robert Ménard qui juge son interdiction “irréaliste”.
Mais Marine Le Pen ne cède pas un pouce de terrain. Pour elle, le voile n’est pas un vêtement, c’est un “uniforme”. L’uniforme d’une idéologie totalitaire qui avance masquée (ou voilée) pour tester la résistance de la République. Elle refuse de voir le voile comme un choix féministe, rappelant avec justesse que “celles qui ne le portent pas n’ont pas le choix en réalité de ne pas le porter” dans certains quartiers. Elles subissent pressions, insultes, isolement.
Son plan de bataille est global : interdiction du voile, mais aussi dissolution des Frères Musulmans, fermeture des mosquées salafistes, assèchement des financements. Elle ne combat pas une religion, elle combat une idéologie politique qui veut, selon elle, la fin de la France telle que nous la connaissons.
Conclusion : Le Retour de la Volonté Populaire
Ce face-à-face entre Marine Le Pen et Apolline de Malherbe est bien plus qu’une simple interview. C’est la cristallisation d’une fracture française. D’un côté, une candidate qui se pose en défenseure de la “loi”, expression de la volonté populaire, refusant que l’État de droit soit synonyme de faiblesse. De l’autre, une journaliste incarnant un système médiatique qui semble parfois déconnecté des réalités violentes vécues par les Français.
Marine Le Pen n’a pas seulement répondu aux questions, elle a imposé son agenda. Elle a rappelé que la politique, c’est d’abord avoir le courage de ses convictions et la force de les appliquer. “On s’est trop habitué à ce que la loi française ne soit pas respectée”, a-t-elle conclu. Une phrase qui résonne comme un avertissement pour l’avenir. Une chose est sûre : après cette performance, personne ne pourra dire qu’il ne savait pas.