Meloni FRAPPE FORT! L’Italie ferme toutes ses frontières !

Rome — L’image restera gravée dans les mémoires comme le symbole d’un basculement. Giorgia Meloni, droite, le regard déterminé, aux côtés du Premier ministre albanais Edi Rama. Pas de courbettes, pas de langage diplomatique alambiqué, mais une posture de combat. En ce mois de novembre 2025, l’Italie ne se contente plus de protester ; elle agit, et elle le fait avec une brutalité qui laisse les élites bruxelloises en état de choc.
C’est une véritable révolution copernicienne qui s’opère de l’autre côté des Alpes. Là où l’Union Européenne s’est habituée à des dirigeants dociles, prêts à sacrifier leurs intérêts nationaux sur l’autel du “consensus”, elle se heurte désormais à un mur. Un mur bâti par une femme qui a décidé que la protection de son peuple passait avant les directives technocratiques.
Le Pacte avec l’Albanie : Le Pied de Nez à la Justice “Rouge”
Le message envoyé depuis Rome est clair comme de l’eau de roche : l’accord avec l’Albanie vivra, quoi qu’en disent les juges. Malgré les tentatives de sabotage de ce que Meloni qualifie de “magistrature politisée”, malgré les cris d’orfraie d’Amnesty Internationale et des ONG subventionnées, les expulsions continuent.
Le plan est d’une efficacité redoutable, presque chirurgicale. Dès 2026, quand le nouveau pacte migratoire de l’UE entrera en vigueur, l’Italie aura déjà une longueur d’avance. Deux centres, financés et gérés par Rome mais situés en terre albanaise, sont prêts à tourner à plein régime. L’objectif ? Accueillir jusqu’à 36 000 migrants par an. Mais attention, pas pour les installer dans des hôtels italiens aux frais du contribuable. Non, ces zones sont sous juridiction italienne, sécurisées par des carabinieri, avec des juges italiens qui statuent par visioconférence.
Le processus est expéditif : 28 jours. C’est le temps maximum pour traiter une demande d’asile. Si c’est oui, on entre. Si c’est non — ce qui est le cas pour l’immense majorité — c’est le retour direct à la case départ, sans passer par la case Europe. C’est la fin du “tourisme de l’asile” qui mine nos sociétés depuis des décennies. Meloni a compris une chose simple : pour arrêter les flux, il faut briser l’espoir d’une installation facile.
Le “Non” au Chantage Financier de Bruxelles
Mais là où la Première ministre italienne frappe encore plus fort, c’est sur le terrain financier. L’UE, dans sa grande sagesse bureaucratique, a inventé un nouveau concept : la “solidarité obligatoire”. En clair, soit vous prenez des migrants, soit vous payez 20 000 euros par tête refusée.
La réponse de Meloni a claqué comme un coup de fouet sur le réseau social X : “L’Italie ne prendra pas de migrants et nous ne paierons pas pour cela.” C’est un refus net, sans appel, du racket institutionnalisé. Et elle n’est pas seule. Un “bloc du refus” se constitue au cœur de l’Europe. Viktor Orban en Hongrie, Robert Fico en Slovaquie, et bientôt Andrej Babis en Tchéquie, forment avec elle une alliance de fer.
Ces nations disent tout haut ce que des millions d’Européens pensent tout bas : pourquoi devrions-nous payer pour les erreurs d’une politique migratoire folle que nous n’avons jamais voulue ? Pourquoi devrions-nous importer de l’insécurité et payer des amendes si nous refusons de nous suicider culturellement ?
La Commission européenne est piégée. Si elle accorde une exemption à l’Italie — qui est techniquement un pays “sous pression” — elle avoue l’échec de son système. Si elle refuse, elle déclare la guerre à l’un de ses membres fondateurs. Dans les deux cas, Bruxelles perd la face. L’UE ressemble de plus en plus à ce vieux maître d’école dépassé, qui agite son règlement intérieur dans une classe qui ne l’écoute plus.
Militarisation et Ordre Intérieur

Sur le terrain, la méthode Meloni est visible à l’œil nu. Les côtes italiennes ne sont plus des passoires, elles sont militarisées. Ce n’est pas du cinéma, c’est de la dissuasion. Les navires de guerre patrouillent, le message est passé aux passeurs : la route italienne est fermée. Celui qui tente la traversée illégale ne finira pas avec un titre de séjour à Milan, mais dans un centre de rétention à Shengjin, en Albanie.
À l’intérieur des terres aussi, le ton a changé. Les récents événements de Milan ont servi de révélateur. Face aux émeutes violentes orchestrées par les Antifas, qui ont blessé des dizaines de policiers, le gouvernement n’a pas tremblé. Là où la gauche minimisait, parlant de “vandalisme”, Meloni a parlé de “violence d’extrême-gauche”. Des arrestations, des procès, de la fermeté.
C’est un langage que l’Europe avait oublié. Celui de l’ordre républicain, de l’autorité de l’État. En Allemagne, les politiciens de l’AfD voient leurs voitures brûler dans l’indifférence générale. En Italie, ceux qui attaquent la police dorment désormais en prison. La différence est là. Meloni ne cherche pas à plaire aux éditorialistes de gauche, elle cherche à protéger ses citoyens.
L’Europe Regarde Rome
Le plus fascinant dans cette histoire, c’est l’effet de contagion. On nous disait que Meloni serait isolée, qu’elle serait la paria de l’Europe. C’est tout l’inverse qui se produit. Le Royaume-Uni, pourtant sorti de l’UE, salue son courage. Les Pays-Bas étudient son modèle. Même Ursula von der Leyen, sentant le vent tourner, commence à murmurer du bout des lèvres qu’il faudrait peut-être envisager des “solutions non conventionnelles”.
Quelle hypocrisie ! Ceux qui ont créé le problème pendant dix ans font mine aujourd’hui de découvrir la solution. Mais personne n’est dupe. Si les choses bougent, c’est parce qu’une femme a eu le courage de taper du poing sur la table.
Giorgia Meloni est en train de prouver par l’exemple que la fatalité n’existe pas en politique. Que l’on n’est pas obligé de subir l’immigration de masse, la délinquance et les diktats supranationaux. Ses taux de popularité restent hauts, non pas grâce à des promesses en l’air, mais parce qu’elle est perçue comme celle qui fait.
Dans une Europe malade de ses renoncements, l’Italie est devenue le laboratoire de la guérison. C’est un pari risqué, certes. Les attaques vont redoubler, les pressions seront énormes. Mais pour l’instant, le constat est sans appel : Meloni 1, Bruxelles 0. Et ce n’est que le début.