😮 Olivier Véran et Mehdi Jaziri : la rumeur enfle… et la réaction soudaine de l’un d’eux intrigue
En réponse à la polémique concernant son amitié avec Olivier Véran, le journaliste Mehdi Jaziri s’est longuement exprimé.

Depuis quelques heures, le journaliste Mehdi Jaziri se retrouve au centre d’une vive polémique sur les réseaux sociaux.
En cause ? Une courte vidéo, largement relayée sur X (anciennement Twitter), le montrant aux côtés d’Olivier Véran. Un moment complice, à première vue anodin, mais qui a suffi à déclencher une avalanche de réactions, parfois virulentes.
Certains internautes sont en effet allés jusqu’à  lui prêter une relation intime avec l’ancien ministre des Solidarités et de la Santé. D’autres, quant à eux, l’ont accusé d’afficher ouvertement une orientation politique.
Cette controverse a rapidement pris de l’ampleur. Depuis, commentaires haineux, insinuations et procès d’intention se multiplient.
Olivier Véran : Mehdi Jaziri brise le silence après la polémique
Contacté par notre rédaction, Mehdi Jaziri a tenu à rétablir les faits. “Il n’y a pas grand-chose à dire“, explique-t-il. “Ce n’est qu’un selfie pris à la volée avec Olivier Véran, (que j’ai eu l’occasion de recevoir il y a quelques semaines dans mon podcast (RSVP, ndlr))“.
Le journaliste précise que leur relation ne date pas d’hier : “Nous nous connaissons par un engagement associatif et sommes devenus amis.”
Pour Mehdi Jaziri, cette polémique est révélatrice d’un climat délétère : “Tout ce bruit depuis hier à cause d’un tweet lancé par des gens d’extrême droite relève du délire. Sans parler des commentaires remplis de haine.”
Des sanctions prévues contre la haine en ligne
Le journaliste regrette visiblement que l’amitié et le dialogue soient aujourd’hui instrumentalisés. Recevoir un responsable politique dans un podcast ou entretenir une relation amicale ne saurait, selon lui, être assimilé à un parti pris éditorial.
Rappelons par ailleurs que la haine en ligne n’est pas sans conséquences. Derrière l’anonymat des écrans, insultes, menaces et harcèlement peuvent gravement atteindre les victimes, mais exposent aussi leurs auteurs à de lourdes sanctions.
En France, les propos haineux ou le cyberharcèlement sont passibles d’amendes, de peines de prison et de poursuites judiciaires. Internet n’est pas une zone de non-droit.