🚨XABI ALONSO SOUS PRESSION !! / LE REAL A ENVOYÉ UN MESSAGE CLAIR À XABI 😱/ MILITAO ÉNORME COUP DUR

L’air est devenu irrespirable du côté de Valdebebas. Si le ciel de Madrid est souvent bleu, c’est un véritable orage qui s’abat actuellement sur la Maison Blanche. Entre une direction à bout de patience, un vestiaire fracturé et une infirmerie qui ressemble à un champ de bataille, le Real Madrid traverse l’une des semaines les plus sombres et décisives de sa saison. Plongée au cœur d’une crise où l’avenir de Xabi Alonso ne tient plus qu’à un fil, et où le destin semble s’acharner cruellement sur ses soldats.

And it gets even worse for Madrid: Éder Militão out for 4 months. They lose  the best center-back that Xabi Alonso has. This is his 3rd serious injury  after tearing his ACL

L’Ultimatum de Florentino Pérez : “Situation Limite”

Le lundi qui a suivi la débâcle face au Celta Vigo restera gravé comme le jour où tout a basculé. Les unes des quotidiens sportifs espagnols, AS et Marca, ne laissent aucune place au doute. “Situation limite”, titrait AS ce matin, résumant parfaitement l’ambiance glaciale qui règne dans les bureaux de la direction.

Une réunion de crise s’est tenue au sommet. Florentino Pérez, le président emblématique, accompagné de son bras droit José Ángel Sánchez, a convoqué l’état-major. Le message transmis est d’une clarté brutale : le temps des excuses est révolu. L’idée selon laquelle il faudrait “attendre encore deux ou trois matchs” pour voir une amélioration a été balayée d’un revers de main. Le changement, c’est maintenant. Immédiatement.

Pour Xabi Alonso, l’enfant chéri devenu entraîneur, le rêve vire au cauchemar. Le match de demain face à Manchester City n’est plus une simple rencontre de Ligue des Champions. C’est une finale. C’est le match de sa vie. Selon les informations qui filtrent, une défaite contre les Citizens scellerait quasi définitivement son sort. La presse espagnole est unanime : personne, absolument personne, ne peut garantir que Xabi sera encore sur le banc madrilène en cas de revers demain. Le message du club est simple : “Tu dois battre City”. Une mission qui ressemble à un travail d’Hercule compte tenu des circonstances.

Le Drame d’Eder Militao : Une Malédiction sans Fin

Comme si la pression administrative ne suffisait pas, le destin a décidé de frapper le Real Madrid là où ça fait le plus mal : sa défense. Le verdict médical concernant Eder Militao est tombé hier, confirmant les pires craintes des supporters.

Ce n’est pas une simple fatigue, ni une petite contracture. C’est une déchirure du biceps fémoral avec atteinte des ischio-jambiers. La sentence est lourde, terrible : quatre mois d’absence. Le Brésilien ne reverra pas les terrains avant le mois d’avril.

Xabi Alonso warns: no defense, no playtime at Real Madrid

Pour Militao, c’est une tragédie personnelle. Après avoir lutté héroïquement pour revenir de deux ruptures des ligaments croisés en deux ans, il avait enfin retrouvé son meilleur niveau depuis quelques mois. Le voir s’effondrer à nouveau est un coup de massue psychologique, non seulement pour lui, mais pour tout le groupe. “C’est terrible, terrible, terrible”, répètent les observateurs. La défense madrilène perd son pilier, son guerrier, laissant un vide béant alors que les échéances les plus cruciales approchent.

Une Infirmerie Pleine à Craquer avant le Choc

Affronter Manchester City, l’une des meilleures équipes du monde, est déjà un défi monumental en temps normal. Mais le faire avec une équipe décimée relève du suicide sportif. La liste des absents pour ce choc donne le vertige : Eder Militao, David Alaba, Dani Carvajal, Lucas Vázquez, Ferland Mendy, Eduardo Camavinga… C’est quasiment toute l’ossature défensive et le cœur du milieu de terrain qui manquent à l’appel.

Eduardo Camavinga, dont l’impact physique avait été si précieux contre l’Athletic Bilbao, manquera cruellement à l’appel. Son absence face au Celta s’était déjà fait sentir par un manque criant de dynamisme au milieu. Quant à Brahim Díaz, ses pépins physiques à répétition deviennent une source d’inquiétude grandissante.

Et que dire de Kylian Mbappé ? La star française n’est pas épargnée. Victime d’une fracture au doigt face au Celta, il sera bien présent sur la pelouse demain, mais avec un bandage et une gêne certaine. Si ce n’est pas une blessure musculaire qui l’empêche de courir, c’est un handicap de plus dans un match où chaque détail comptera. On se raccroche à cet espoir : Mbappé sera là. C’est l’une des rares lueurs dans la pénombre actuelle.

Un Vestiaire Divisé et une Autorité Contestée

Mais au-delà des blessures, c’est l’âme même de l’équipe qui semble malade. Le vestiaire du Real Madrid, autrefois forteresse imprenable, montre des signes de fissures inquiétants. Selon le journaliste Rodra, le groupe est divisé.

D’un côté, ceux qui pensent que les méthodes de Xabi Alonso ne fonctionnent pas, que sa rigidité tactique et son refus de s’adapter (contrairement à la souplesse légendaire d’un Ancelotti ou d’un Zidane) mènent l’équipe dans le mur. De l’autre, ceux qui estiment que les joueurs eux-mêmes sont responsables, pointant du doigt un manque d’effort et d’engagement sur le terrain.

Un Clásico de SAD?

La direction, elle, observe ce chaos avec amertume. Elle regrette le manque de connexion entre l’entraîneur et certains cadres. L’épisode des jours de repos promis puis accordés après Bilbao, laissant trop peu de temps pour préparer le match du Celta, a fait grincer des dents en haut lieu. L’attitude nonchalante vue en première mi-temps contre le Celta a été perçue comme un affront. Aujourd’hui, la responsabilité est partagée : 50/50. Mais dans le football, c’est toujours l’entraîneur qui sert de fusible.

L’Ombre d’Arbeloa et la Fin d’un Rêve ?

Alors que Xabi Alonso prépare son plan de bataille pour la “finale” de demain, les rumeurs sur sa succession vont bon train. Oubliez les fantasmes de retour de Zinedine Zidane ou l’arrivée de Jürgen Klopp. Zidane se destine à l’Équipe de France, et Klopp est désormais lié à Red Bull.

Le nom qui revient avec insistance, l’option la plus sérieuse et crédible à l’heure actuelle en cas de licenciement d’Alonso, c’est Alvaro Arbeloa. L’ancien latéral, qui connaît la maison comme sa poche, serait prêt à relever le défi. C’est une solution interne, un “homme du club”, prêt à éteindre l’incendie.

Demain soir, au coup de sifflet final face à Manchester City, nous saurons si Xabi Alonso a réussi l’impossible : sauver sa tête avec une équipe en lambeaux face à l’élite européenne. Ou si, au contraire, nous assisterons à la fin brutale d’une ère qui promettait tant mais qui semble s’effondrer sous le poids des blessures et des malentendus. Une chose est sûre : Madrid retient son souffle.

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