Le mystère de la mort de Bayah Bouzar (Bayouna) enfin révélé – Comment sa disparition tragique a marqué le monde entier et fait trembler ceux qui l’aimaient ! Une cérémonie d’adieu émouvante qui a laissé les proches en larmes !

Ce mardi matin, 25 novembre 2025, le ciel artistique algérien s’est effondré. Une nouvelle bouleversante s’est répandue à une vitesse vertigineuse, laissant place à une stupéfaction et une tristesse infinie dans le cœur de millions d’amoureux des arts, tant au pays qu’à l’étranger : Baya Bouzar, affectueusement connue sous le nom de Biyouna – la “Reine du rire” – a rendu son dernier souffle. Elle nous a quittés à l’âge de 73 ans, emportant avec elle toute une époque dorée de la comédie et du cinéma algérien vers l’éternité.

Le départ de Biyouna n’est pas seulement une perte pour sa famille, c’est un choc immense pour la culture nord-africaine. Aux alentours de 10 heures en cette matinée fatidique, le cœur de cette immense artiste s’est arrêté, refermant le livre d’une vie aussi éclatante que tumultueuse.

Le combat silencieux derrière les projecteurs

Derrière les éclats de rire contagieux et les rôles pleins d’esprit qui sont devenus sa marque de fabrique, peu savaient que Biyouna menait une bataille vitale, acharnée et douloureuse. Des sources officielles ont confirmé que la cause de son décès est un cancer du poumon dévastateur. Ce fut un long combat, une épreuve qu’elle a traversée avec la résilience d’une guerrière, endurant silencieusement la douleur physique pour préserver une image d’optimisme face à son public.

Dans ses derniers jours, l’état de santé de Biyouna s’était gravement détérioré. Dans un geste témoignant de l’immense respect pour ses contributions, la Ministre de la Culture et des Arts algérienne, Mme Malika Bendouda, a personnellement supervisé la prise en charge médicale de la diva. Sur ordre de la Ministre, Biyouna a été transférée d’urgence dans un hôpital spécialisé en pneumologie pour recevoir les meilleurs soins possibles. Cependant, le destin en avait décidé autrement, et la médecine n’a pu vaincre la fatalité. Elle s’est éteinte entourée du chagrin du personnel médical et de ses proches.

Peu après l’annonce de la triste nouvelle, la Ministre Malika Bendouda a adressé une lettre de condoléances poignante à la famille de l’artiste Baya Bouzar. Cette lettre n’était pas seulement un mot de réconfort pour ses proches, mais la reconnaissance de toute une nation envers un talent exceptionnel, une femme qui a consacré sa vie entière à l’art de son pays.

Portrait d’une légende : De Belouizdad aux cœurs de millions

Née le 13 septembre 1952 à Belouizdad, Alger, Biyouna (de son vrai nom Baya Bouzar) avait l’art qui coulait dans ses veines. Elle a grandi en respirant l’air d’une Algérie en pleine mutation, et c’est sa patrie qui a forgé cette âme d’artiste libre, authentique et puissante.

Biyouna n’était pas qu’une actrice ; elle était l’incarnation de la femme algérienne moderne – forte, directe et profondément aimante. En tant que citoyenne algérienne de confession musulmane, elle a vécu une vie pleine, guidée par sa foi et sa passion. Elle était épouse, et mère d’une fille unique nommée Amal – qui porte aujourd’hui le fardeau de la plus grande des douleurs.

La carrière de Biyouna est une succession de succès éclatants s’étalant sur plusieurs décennies. Elle n’était pas seulement une star locale, son nom a brillé bien au-delà des frontières. Le public se souviendra surtout d’elle à travers la série culte “Nass Mlah City” (2002-2005), où son génie comique a atteint des sommets. Son jeu naturel, sans artifice, et sa capacité de transformation lui ont permis de conquérir tous les publics, des plus jeunes aux plus âgés.

مراسم إلقاء النظرة الأخيرة على روح الفنانة القديرة باية بوزار “#بيونة”، في  #المسرح_الوطني_الجزائري في أجواء مفعمة بالوفاء والحزن. 🚨شهدت المراسم حضور  وزيرة الثقافة والفنون الدكتورة #مليكة_بن_دودة، ومستشار رئيس الجمهورية  المكلّف بالمديرية العامة

Ne se limitant pas au petit écran, Biyouna a laissé une empreinte indélébile dans le cinéma. Elle fut l’une des rares artistes algériennes à connaître un triomphe retentissant tant en Algérie qu’à l’international, notamment en France. Ses rôles portaient toujours le souffle de la vie, reflétant avec une justesse désarmante les zones d’ombre, les joies et les peines de l’être humain. Elle a laissé une “empreinte digitale” unique dans le monde de la comédie, créant un style propre qu’il sera impossible d’imiter.

Un héritage éternel : Le rire demeure

Le départ de Biyouna marque la fin d’une ère, mais son héritage, lui, est immortel. Elle a dédié plus d’un demi-siècle à l’art, offrant du rire à des générations entières. Ses rôles n’étaient pas que du divertissement ; ils portaient des messages humanistes profonds, des leçons d’amour, d’optimisme et de courage.

Aujourd’hui, Alger pleure son enfant prodige. Des bougies sont allumées, les réseaux sociaux sont inondés de messages de deuil, et ses anciens films repassent en boucle sur les chaînes de télévision. On ne parle pas d’elle avec désespoir, mais avec une profonde gratitude pour avoir embelli ce monde de sa présence.

En ces instants d’adieu, unissons nos prières pour que l’âme de Baya Bouzar – Biyouna repose en paix éternelle. Puisse-t-elle être accueillie par la miséricorde divine et trouver au paradis la sérénité et la joie qu’elle a tant offertes à ce monde ici-bas.

Adieu Biyouna, ton rire restera à jamais le soleil qui réchauffe le cœur de ceux qui restent. La légende s’est allongée pour dormir, mais la légende ne sera jamais oubliée.

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