Ce Que Napoléon A Fait Aux Femmes Était Pire Que La Mort ! (Fantasmes Répugnants)

« Je ne t’aime plus. Au contraire, je te déteste. Tu es une vilaine, bien méchante, bien sotte créature. » Dix lignes plus bas dans la même lettre : « Je te couvrirai d’un million de baisers brûlants comme sous l’équateur. » Haine, insulte, désir brûlant. Le tout adressé à la même femme dans les mêmes pages.

Nous sommes en novembre 1796 et l’odeur de l’encre sèche à peine sur ce document que les historiens ont longtemps préféré ignorer. Cette lettre n’est pas une anomalie, elle est un schéma. Le schéma d’un homme qui détruisait systématiquement chaque femme qu’il aimait. Ce soir, nous allons pénétrer dans les chambres closes des Tuileries.

Vous entendrez les hurlements de Joséphine résonnant dans les couloirs du palais tandis que Napoléon fracasse ses meubles. Vous découvrirez comment une princesse de 18 ans fut vendue comme du bétail à l’homme qu’elle appelait l’Antéchrist. Et vous apprendrez l’histoire oubliée d’une comtesse polonaise que son propre mari, 68 ans, poussa à se sacrifier pour l’Empereur au nom de la patrie.

L’histoire est écrite par les vainqueurs et presque toujours par des hommes. Ils ont transformé Cléopâtre en courtisane manipulatrice, Marie-Antoinette en reine frivole et les victimes de Napoléon en simples notes de bas de page. Ce soir, nous rétablissons la vérité. Le champ de bataille n’était pas le seul terrain de conquête de Napoléon.

Sa vie privée était un autre front et les victimes n’ont jamais pu témoigner. À 18 ans, Napoléon eut sa première expérience intime avec une femme de petite vertu au Palais-Royal. Il nota cette rencontre dans son journal comme une expérience scientifique, froidement, sans émotion, analysant chaque détail comme il analyserait plus tard ses campagnes militaires.

Cette froideur ne le quitta jamais. Des années plus tard, il qualifierait l’amour d’une simple sensation et le déclarerait nuisible à la société. Toutefois, cette philosophie n’empêchait pas une obsession maladive pour le contrôle. Napoléon ne voulait pas simplement posséder les femmes. Il exigeait leur soumission totale, leur adoration inconditionnelle, tout en se réservant le droit de les humilier publiquement.

C’est dans ce contexte qu’il rencontra Rose de Beauharnais en octobre 1795. Elle avait 32 ans, veuve d’un général guillotiné pendant la Terreur, mère de deux enfants. Lui n’en avait que 26, général prometteur mais encore inconnu. Rose, qu’il rebaptiserait Joséphine, effaçant jusqu’à son identité, le trouvait ridicule au départ.

Elle le surnommait « chat beauté » et moquait sa famille de mendiant Corse. Néanmoins, en quelques semaines, Napoléon développa une obsession dévorante pour cette femme. Imaginez recevoir une lettre où l’on vous traite de « vilaine, méchante, sotte créature ». Puis dix lignes plus bas, on vous promet un million de baisers brûlants.

Seriez-vous restée ? Écrivez « partir » ou « rester » dans les commentaires et dites-moi pourquoi. Les réponses à cette question en disent long sur notre époque autant que sur celle de Joséphine. Le mariage fut célébré le 9 mars 1796, expédié en quelques minutes. Deux jours plus tard, Napoléon partait pour sa campagne d’Italie, bombardant son épouse de lettres de plus en plus inquiétantes.

« Tu ne m’écris jamais, tu n’aimes pas ton mari », accusait-il. « Je ne reçois pas de tes nouvelles et je suis sûr que tu ne m’aimes plus. » Puis, dans la même missive : « Chaque jour, je compte tes torts. Je me fouette jusqu’à la fureur pour ne plus t’aimer. Bah, ne t’aimais-je pas davantage ? » Ces lettres débordaient de chantages émotionnels si intenses que les déclarations d’amour semblaient menaçantes plutôt que romantiques.

Lorsque Joséphine le rejoignit en Italie, Napoléon instaura une surveillance constante. Il ouvrait son courrier personnel, dictait qui elle pouvait voir, contrôlait ses déplacements. La moindre sortie devait être approuvée. Par ailleurs, il n’hésitait pas à l’humilier publiquement, criant après elle devant témoins, la tourmentant avec les détails de ses propres infidélités.

Un incident particulièrement glaçant survint aux Tuileries. Joséphine découvrit Napoléon dans la chambre de sa dame de compagnie, Adèle Du Chatel. Quand elle osa le confronter, sa réaction fut explosive. « Bonaparte entra dans une fureur si violente que j’eus à peine le temps de fuir devant lui et d’échapper à sa rage, » témoigna-t-elle plus tard.

« Je tremble encore à cette pensée. » Il la poursuivit à travers le palais, hurlant des insultes que tout l’édifice pouvait entendre. Il fracassa ses meubles un par un. Il lui ordonna de partir immédiatement. Il vociféra qu’il voulait une épouse capable d’avoir des enfants. Le 30 novembre 1809 marqua le début de la fin.

Après un dîner tendu dans les appartements impériaux, Napoléon annonça froidement sa décision. Il voulait divorcer. L’Impératrice fut saisie d’une crise nerveuse et s’évanouit. Ses hurlements résonnèrent dans tout le palais. Elle s’effondra sur le sol et Napoléon lui-même dut la porter jusqu’à ses appartements. La cérémonie officielle de divorce eut lieu le 15 décembre 1809 dans la salle du trône des Tuileries.

Joséphine portait une simple robe blanche, comme une mariée à l’envers. Elle devait lire une déclaration préparée acceptant la dissolution de son mariage. Le poids émotionnel était trop lourd. Elle chancela en sanglottant et demanda que quelqu’un d’autre termine la lecture à sa place. Face aux supplications de sa fille Hortense, Napoléon resta de marbre.

« Ma décision est prise, elle est irrévocable. Rien ne me fera revenir, ni larmes ni prières. » Joséphine venait d’être brisée publiquement, mais une autre femme à des centaines de kilomètres de là ignorait encore qu’elle serait la prochaine. Si ces destins tragiques vous captivent, rejoignez notre exploration en vous abonnant à Histoires Oubliées.

Car ce qui attendait Marie-Louise d’Autriche dépassait tout ce que Joséphine avait enduré. À Vienne, une jeune fille de 18 ans vivait dans l’ignorance de son propre avenir. Marie-Louise d’Autriche était la fille de l’Empereur François II et la petite-nièce de Marie-Antoinette, décapitée par les révolutionnaires français.

Sa famille avait dû fuir Vienne à deux reprises à cause des guerres napoléoniennes. Elle avait grandi en appelant Napoléon « l’ogre corse » et « l’Antéchrist ». En 1810, elle confiait dans une lettre que le voir serait « le plus épouvantable des martyres ». Pourtant, Marie-Louise n’eut aucun mot à dire sur son propre destin. Le contrat de mariage fut signé par le ministre autrichien et l’ambassadeur français en son nom, sans sa présence ni son consentement.

Elle fut littéralement échangée comme une marchandise diplomatique. Lorsqu’elle apprit qu’elle devait épouser l’homme qu’elle haïssait le plus au monde, la perspective lui sembla une épreuve pire que tout martyre imaginable. Plus bouleversant encore, Marie-Louise avait confié à son père qu’elle était amoureuse d’un autre homme, l’Archiduc François de Modène.

Cette confidence ne changea rien. Son père n’eut même pas le courage de lui annoncer personnellement son sort. Il délégua cette tâche à son ministre Metternich. La réponse résignée de Marie-Louise glaça le sang : « J’attends votre décision avec un respect filial. » Sept mots qui contiennent toute la tragédie d’une époque.

Votre propre père vous livre à votre pire ennemi et vous répondez par la soumission. Auriez-vous obéi ou auriez-vous fui ? Quitte à tout perdre ? Dites-le-moi dans les commentaires. Cette question n’a pas de bonne réponse. Marie-Louise, 18 ans, épousa Napoléon, 40 ans, par procuration, sans même l’avoir rencontré. Ce n’est qu’ensuite qu’elle fut expédiée en France comme un colis diplomatique.

Dès lors, sa vie fut gouvernée par une étiquette étouffante. Un protocole strict emprisonnait la jeune femme dans une cage dorée dont elle ne s’échapperait jamais vraiment. La vision de Napoléon sur ce mariage se révéla dans une remarque glaçante qu’il fit après les noces. Malgré l’attachement rapide que Marie-Louise développa pour lui, il déclara froidement qu’il avait épousé une fonction, non une personne, rien de plus qu’un moyen d’obtenir un héritier.

L’accouchement du 20 mars 1811 confirma cette conception utilitaire. Marie-Louise endura un travail long et difficile, l’enfant se présentant par le siège. Les médecins durent utiliser des forceps et le bébé ne montra aucun signe de vie pendant sept minutes interminables. Les médecins déconseillèrent toute nouvelle grossesse.

En mars 1814, alors que les forces alliées approchaient de Paris, Marie-Louise voulut rester auprès de son époux. La réponse de Napoléon fut glaçante : « Je préférerais les savoir tous les deux au fond de la scène plutôt qu’entre les mains des étrangers. » Il parlait de sa propre femme et de son fils de 3 ans.

Marie-Louise fut contrainte de fuir avec leur enfant. Elle ne revit jamais Napoléon. Des années plus tard, elle écrirait avec une gratitude amère : « Je lui dois ma reconnaissance pour la nonchalance calme avec laquelle il m’a laissé vivre au lieu de me rendre malheureuse. » La barre était si basse qu’elle remerciait simplement qu’il ne l’ait pas rendue plus misérable.

Mais avant Marie-Louise, il y eut une autre victime dont l’histoire demeure particulièrement déchirante. Marie Walewska naquit en 1786 dans une Pologne qui n’existait plus. Effacée de la carte, partagée entre la Russie, la Prusse et l’Autriche. À 18 ans, sa mère l’avait mariée au comte Anastase Walewski, un homme de 68 ans, quatre fois son âge.

Les patriotes polonais désespéraient de retrouver leur indépendance. C’est dans ce contexte que Napoléon aperçut Marie lors d’un bal à Varsovie en janvier 1807. Dès le lendemain, il lui envoya une lettre : « Je n’ai vu que vous. Je n’ai admiré que vous. Je ne désire que vous. » Marie refusa d’abord ses avances. Ce qui suivit dévoile toute l’horreur de sa situation.

Des pressions familiales et politiques s’abattirent sur elle de toutes parts. Membres du gouvernement provisoire, patriotes, notables, et à leur tête son propre mari de 68 ans. Tous la poussaient à se sacrifier pour l’Empereur au nom de la patrie. Comment peut-on concevoir qu’un mari pousse sa jeune épouse à céder à un autre homme ? C’est pourtant ce qui arriva.

Anastase Walewski et d’autres dignitaires exercèrent une pression patriotique pour la convaincre de faire ce sacrifice afin d’aider à libérer leur pays. Marie finit par céder, espérant que son honneur perdu pourrait acheter la liberté de la Pologne. Dans ses mémoires, Marie décrivit son calvaire avec des mots qui serrent le cœur :

« Le sacrifice était total. Il ne s’agissait plus que de récolter les fruits, d’obtenir cette seule équivalence qui pourrait excuser ma position avilie. Cette pensée me possédait. Régnant sur ma volonté, elle ne me permettait pas de succomber sous le poids de la mauvaise conscience. » Elle se résigna à devenir la maîtresse de Napoléon, une femme de 20 ans sacrifiée sur l’autel du patriotisme par son propre mari.

Peut-on appeler cela du patriotisme ou faut-il nommer les choses autrement ? Écrivez « patriotisme » ou « trahison » dans les commentaires. Vos perspectives éclairent ces zones d’ombre que l’histoire préfère oublier. La liaison se poursuivit dans le secret. Marie ne visitait Napoléon que la nuit et quittait le palais furtivement chaque matin.

Napoléon l’appelait sa Cléopâtre et l’installa dans des appartements jouxtant les siens au château de Finkenstein. Ça, Cléopâtre. Le surnom n’est pas anodin car la véritable Cléopâtre, elle aussi fut victime de la propagande masculine.

Mais cette image fut fabriquée par Octave pour justifier sa guerre. Dans notre prochaine vidéo, nous dévoilerons comment la machine de propagande romaine a dissimulé un mensonge pendant des siècles. Abonnez-vous pour ne pas manquer cette révélation. Or, le prix de cette intimité forcée ne fut jamais payé. La Pologne n’obtint qu’un petit État satellite, le duché de Varsovie, sous tutelle française.

La presse fut censurée. Les terres polonaises ne furent jamais réunifiées. Ce duché fournit plus de 100000 soldats pour l’invasion désastreuse de la Russie par Napoléon. Après sa chute, la Pologne fut à nouveau partagée entre ses voisins. Marie Walewska donna un fils à Napoléon : Alexandre. Des tests ADN réalisés en 2013 confirmèrent la paternité Bonaparte.

Cependant, Napoléon mit fin à leur relation dès son mariage avec Marie-Louise. La comtesse avait tout sacrifié. La Pologne n’obtint rien. Marie s’éteignit en 1817 à seulement 31 ans. Ses dernières volontés furent que son corps repose en Pologne, mais que son cœur soit extrait et placé en France.

Symbole déchirant d’une femme à jamais écartelée entre deux patries. Ces trois femmes ne furent pas les seules victimes. Napoléon entretenait un réseau de maîtresses, plus d’une dizaine de femmes documentées par les historiens. Son attitude envers elles toutes se résumait dans cette confession cynique : « Mes maîtresses n’engagent nullement mes sentiments. »

« Ma maîtresse, c’est le pouvoir. » Parmi ces liaisons, celle avec Éléonore Denuelle révèle une dimension particulièrement troublante. Cette jeune femme de 18 ans fut délibérément présentée à Napoléon par sa propre sœur Caroline. Le but : vérifier si l’Empereur pouvait avoir des enfants. Ce n’était pas une histoire d’amour, plutôt une expérience dynastique orchestrée par la famille Bonaparte.

Charles Léon naquit en 1806 de cette union. Napoléon ne le reconnut jamais officiellement. L’enfant mourut dans la pauvreté en 1881, oublié de tous. Mais au-delà des drames individuels, l’héritage le plus durable de Napoléon concernant les femmes fut institutionnel. Le Code civil de 1804 institutionnalisa l’oppression féminine pour plus d’un siècle.

Ce texte fondateur privait les femmes de droits civils et politiques. Il permettait au mari de divorcer pour adultère et de faire emprisonner sa femme. En revanche, l’épouse ne pouvait divorcer que si le mari installait sa maîtresse dans le domicile conjugal. Les femmes perdaient leurs droits de propriété au moment du mariage.

Ce système ne serait remis en question qu’à partir des années 1890. Des générations entières de Françaises vécurent sous le joug de lois conçues par un homme qui déclarait depuis Sainte-Hélène : « Nous avons agi fort imprudemment en traitant les femmes trop bien. Nous leur avons permis de se considérer presque comme nos égales. » Ces mots datent de 1816.

Mais combien de ces idées survivent encore aujourd’hui sous d’autres formes ? Dites-moi dans les commentaires, pensez-vous que nous avons vraiment dépassé cette époque ou portons-nous encore son héritage ? Les destins de ces victimes se conclurent dans la tragédie. Joséphine s’éteignit le 29 mai 1814 à 50 ans, quelques mois après le premier exil de Napoléon.

Ses derniers mots auraient été : « Napoléon, l’île d’Elbe. » Quand l’Empereur l’apprit, il s’enferma dans sa chambre pendant deux jours. Sur son lit de mort à Sainte-Hélène en 1821, ses ultimes paroles furent : « France, l’armée, tête d’armée, Joséphine. » L’homme qui l’avait détruite possédait encore son souvenir jusque dans la mort. Marie-Louise ne retourna jamais auprès de Napoléon malgré ses suppliques depuis l’île d’Elbe.

Son fils avec lui, le roi de Rome, succomba à la tuberculose à 21 ans, appelant sa mère dans son agonie. Napoléon conquit des nations. Mais les femmes qui l’aimèrent, ou furent contraintes de l’aimer, payèrent le prix le plus élevé. Les hurlements de Joséphine résonnant dans les Tuileries. Marie-Louise écrivant sa gratitude qu’il l’ait laissée vivre au lieu de la rendre malheureuse.

Marie Walewska sacrifiant son honneur pour un pays qui demeura asservi. Sa confession la plus sincère se trouve peut-être dans cette lettre à son frère : « J’aimais vraiment ma Joséphine, mais je ne la respectais pas. » Ici réside toute la tragédie. Napoléon pouvait aimer, mais il ne pouvait pas respecter.

Or sans respect, l’amour devient possession. La possession devient contrôle et le contrôle devient destruction. Pour les femmes qui tombèrent entre ses mains, il n’y avait pas d’échappatoire, seulement la survie, et parfois même pas cela. L’histoire a retenu le nom de Napoléon. Elle a presque oublié celle qu’il a brisée. Mais l’histoire est aussi faite de ceux qui la réécrivent.

Et c’est exactement ce que Rome a fait avec Cléopâtre. Dans notre prochaine vidéo, nous dévoilerons la véritable reine d’Égypte que la propagande d’Octave a voulu effacer. Une femme que l’on a réduite à une simple séductrice alors qu’elle parlait neuf langues et gouvernait un empire. Abonnez-vous pour découvrir cette vérité enfouie depuis 2000 ans.

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