Top 5 des pratiques d’hygiène dégoûtantes de la reine Élisabeth I

Vous pensiez tout savoir sur la reine Élisabeth Ire ? Détrompez-vous. La femme qui a vaincu l’Armada espagnole, qui a régné sur l’Angleterre pendant 45 ans, qui s’est autoproclamée Reine Vierge, tout cela n’était qu’un masque. Derrière ce maquillage blanc emblématique et ses robes ornées de bijoux se cachait une femme vivant dans une saleté à vous donner la chair de poule.

Les livres d’histoire ne vous le diront pas. Vos professeurs n’en ont certainement pas parlé. Mais je m’apprête à vous révéler cinq pratiques d’hygiène horribles d’Élisabeth I, si répugnantes, si révoltantes qu’à la fin de cette vidéo, vous ne regarderez plus jamais les portraits royaux du même œil. On parle d’une reine qui pourrissait vivante sur le trône d’Angleterre. Mais d’abord, il faut comprendre un point crucial : l’hygiène d’Élisabeth n’était pas seulement mauvaise, c’était une arme, une décision calculée et stratégique qui lui a permis de rester au pouvoir pendant près d’un demi-siècle. Une fois ces faits connus, vous réaliserez que tout ce que vous pensiez savoir sur l’Âge d’Or de l’Angleterre reposait sur une ignominie absolue.

Prêt ? Plongeons-nous dans le vif du sujet.

1. L’addiction au sucre : des dents pourries et une tendance beauté insensée

Le numéro 1 vous donnera littéralement mal au ventre. La reine Élisabeth Ire souffrait d’une addiction si grave, si destructrice, qu’elle transformait physiquement son visage en quelque chose qui hanterait vos cauchemars : le sucre. Ce n’était pas n’importe quelle gourmandise, c’était une obsession royale qui coûta une fortune à l’Angleterre et coûta à Élisabeth ses dents, son haleine et finalement sa capacité à parler clairement.

Voilà le problème : au XVIe siècle, le sucre était plus rare que l’or. Il provenait de colonies lointaines, coûtait plus cher que le salaire annuel de la plupart des gens et était réservé à l’élite. Mais Élisabeth, elle, le consommait comme une toxicomane moderne : des violettes confites au petit-déjeuner, des sculptures en pâte d’amande au déjeuner, des desserts dégoulinants de sirop au dîner. C’est là que ça devient complètement insensé : elle utilisait du sucre pour se brosser les dents. Oui, vous avez bien entendu. La même substance qui lui pourrissait la bouche était celle qu’elle frottait sur ses gencives chaque matin. Mélangée à des herbes et réduite en pâte, Élisabeth a littéralement accéléré sa propre carie dentaire tout en pensant maintenir une hygiène royale.

Mais attendez, la situation s’aggrave. Dans les années 1590, les ambassadeurs étrangers écrivaient à leurs compatriotes que la reine avait des dents noires et cassées et une haleine si fétide que les courtisans reculaient pendant les conversations. Son élocution était devenue pâteuse, car il lui manquait tellement de dents qu’elle ne pouvait pas prononcer correctement certains mots. Et voici le détail le plus hallucinant : les dames de sa cour l’ont copiée. Les nobles femmes noircissaient littéralement leurs dents saines avec de la suie et du charbon pour s’harmoniser avec le sourire flétri de la reine. Elles pensaient que les dents noires étaient à la mode, car si la reine en avait, ce devait être un signe de richesse et de statut.

Imaginez-vous vous détruire volontairement les dents pour ressembler à quelqu’un dont la bouche est en train de tomber en morceaux. Cette femme a eu une telle influence que même sa maladie dentaire est devenue une tendance beauté. Mais l’addiction au sucre d’Élisabeth n’était rien comparée à sa relation avec l’eau.

2. La terreur calculée de l’eau

Le numéro 2 va vous époustoufler. Vous avez sans doute déjà entendu cette citation : « Je me baigne une fois par mois, que j’en aie besoin ou non. » Qu’elle l’ait dit ou non, elle illustre parfaitement l’horrible réalité de l’hygiène à l’époque des Tudors. Mais le refus d’Élisabeth de se laver à l’eau n’était pas de la paresse, mais une terreur pure et calculée.

Voici ce qui se passait : à l’époque d’Élisabeth, on croyait que l’eau pouvait tuer. Pas seulement l’eau sale, mais n’importe quelle eau. On pensait qu’elle ouvrait les pores à des miasmes mortels, un air toxique porteur de la peste. Se baigner était considéré comme aussi dangereux que boire du poison. Élisabeth passait donc des mois sans toucher à l’eau et au savon. Au lieu de cela, elle avait ce rituel quotidien absolument répugnant. Chaque matin, les domestiques lui retiraient ses chemises en lin, ses sous-vêtements qui avaient absorbé des jours, voire des semaines, de sueur, de peaux mortes et de fluides corporels. Ils pensaient que le tissu éliminait littéralement les toxines de son corps. Pas besoin de les laver, juste un linge propre sur une peau de plus en plus sale.

Lorsqu’elle se nettoyait, c’était avec de l’eau de rose et du vinaigre, délicatement tamponné par des domestiques terrifiés. C’est tout. Pas de frottage, pas de savon, pas d’élimination de la saleté ou des bactéries, juste de l’eau parfumée tapotant les couches de crasse accumulées. Mais voici le côté insensé que les historiens ont découvert : les palais d’Élisabeth n’avaient ni eau courante, ni plomberie, rien du tout. Un bain royal nécessitait de chauffer des dizaines de seaux au-dessus du feu, de traîner une baignoire en bois dans ses appartements et de coordonner au moins six domestiques pendant des heures. C’était comme planifier une opération militaire juste pour se laver.

Et voilà le pire : elle évitait de prendre un vrai bain, car l’eau aurait fait disparaître son maquillage. Élisabeth a littéralement choisi de vivre dans sa propre crasse plutôt que de risquer que la peinture blanche qui recouvrait sa peau ne parte. Des visiteurs étrangers ont écrit que, malgré ses parfums et ses robes lourdes de soie, une odeur sous-jacente suivait la reine partout où elle allait. Une odeur qu’aucune quantité d’eau de rose ne pouvait complètement masquer.

3. Le masque de poison : la céruse vénitienne

Si vous pensez que ses habitudes de bain étaient dégoûtantes, attendez de savoir ce qu’elle mettait sur son visage chaque jour. Le numéro 3, c’est littéralement un meurtre. Ce visage blanc emblématique que l’on voit sur tous les portraits d’Élisabeth I n’était pas naturel. C’était un véritable masque de poison qu’elle appliquait sur sa peau chaque jour pendant plus de 40 ans, et il la tuait lentement de l’extérieur.

Le look caractéristique d’Élisabeth nécessitait une pâte appelée céruse vénitienne, un mélange de blanc de plomb et de vinaigre qui lui donnait l’apparence d’une poupée de porcelaine. Mais c’était du plomb, la même substance qui provoque des lésions cérébrales, des défaillances organiques et la mort. Chaque matin, elle enduisait le visage, le cou et les mains de cette pâte toxique. Voici ce qui est absolument horrible : alors que le plomb empoisonnait sa peau, provoquant des éruptions cutanées, des plaies et des cicatrices permanentes, Élisabeth s’est contentée d’appliquer davantage de maquillage pour masquer les dégâts, couche après couche, année après année, jusqu’à ce que son visage ne devienne qu’un masque épais et craquelé qui, selon les ambassadeurs, semblait plus peint qu’humain.

Et pour ses lèvres, elle utilisait du maquillage rouge vif à base de mercure, l’une des substances les plus mortelles sur Terre. Plus elle en utilisait, plus sa personnalité changeait. L’intoxication au mercure provoque des sautes d’humeur, des pertes de mémoire, des tremblements des mains et finalement la folie. Élisabeth refusait qu’on peigne son vrai visage. Les artistes devaient recopier de vieux portraits, la montrant éternellement jeune, tandis que son vrai visage pourrissait sous des centimètres de peinture de plomb. Elle bannit les miroirs de ses appartements privés, ne supportant pas de voir les effets du poison. Les historiens ont découvert que durant ses dernières années, le maquillage d’Élisabeth était si épais et fragile que toucher son visage pouvait faire craquer et tomber des morceaux de peinture, révélant la peau malade en dessous. Elle avait des domestiques dont le seul travail consistait à la poudrer en privé, veillant à ce que personne ne voie son vrai visage. La femme qui refusait de se marier, qui se disait mariée à l’Angleterre, se tuait littéralement à l’idée de préserver une image de jeunesse éternelle et de beauté divine. Elle s’empoisonnait pour entretenir cette illusion.

4. Le corps qui pourrit : un secret biologique masqué par le parfum

Mais même cela n’était pas son habitude la plus dégoûtante. Numéro 4. Préparez-vous. Le secret le plus profond et le plus sombre d’Élisabeth n’était pas politique, mais biologique. Derrière tout ce parfum, tous ses gants et ses pomanders parfumés se cachait une femme dont le corps était en train de s’effondrer, et elle le savait.

Voilà la réalité : Élisabeth cachait dans sa robe de petites boules ornées appelées pomanders, remplies d’herbes et de résine. Dès qu’elle sentait une odeur nauséabonde, y compris sa propre odeur corporelle, elle en portait une à son nez. Ces boules n’étaient pas seulement destinées à égayer les odeurs, c’étaient des anti-odeurs d’urgence pour une femme qui empestait la décomposition. Chaque vêtement était parfumé. Ses gants étaient imprégnés d’huile, ses mouchoirs étaient imbibés d’eau de rose. Elle se déplaçait dans sa cour telle une fabrique de parfums ambulante, s’efforçant désespérément de créer une bulle de fraîcheur artificielle autour de son corps en décomposition.

Le plus troublant : avec l’âge, Élisabeth perdit ses cheveux après des années d’intoxication au plomb et au mercure. Au lieu de laver ce qui restait, elle les raidissait avec de l’eau sucrée et des blancs d’œuf, puis les recouvrait de poudre. Elle portait des perruques rouges sophistiquées pour préserver son image. Mais sous toute cette poudre et ce parfum, les courtisans murmuraient quelque chose de véritablement horrible. La peau d’Élisabeth était si abîmée par des décennies de maquillage empoisonné qu’elle présentait des plaies ouvertes, des plaques qui pèlent et des zones qui pourrissaient littéralement de son vivant.

Elle portait une canne parfumée, non pas pour se soutenir, mais pour la tenir contre son nez lorsqu’elle croisait des courtisans malodorants. L’ironie est insensée : la femme qui sentait le plus mauvais utilisait une canne pour se protéger des odeurs des autres. Élisabeth interdisait à quiconque de la voir sans maquillage. Elle avait des domestiques qui lui poudraient les épaules et les bras en secret, car l’empoisonnement au plomb avait laissé des séquelles visibles sur tout le haut de son corps. Elle avait littéralement peur d’elle-même. La Reine Vierge, celle qui prétendait être mariée à l’Angleterre, était prisonnière d’un corps qui la trahissait jour après jour.

5. Les palais d’excréments : une reine en fuite devant la puanteur

Et le pire, on n’a même pas encore abordé le plus répugnant, le numéro 5. Cela hantera vos rêves. Derrière les salles dorées et les tapisseries de soie des palais d’Élisabeth se cachait une réalité si révoltante que la reine dut littéralement abandonner ses propres demeures pour échapper à la puanteur.

Il n’y avait ni toilettes, ni plomberie, ni eau courante. Que des excréments humains partout. Les toilettes personnelles d’Élisabeth étaient appelées « tabouret fermé », une élégante chaise en bois surmontée d’un pot en céramique. Ce pot devait être vidé à la main plusieurs fois par jour par un noble appelé le Groom of the Stool. Oui, le travail d’un courtisan royal consistait littéralement à gérer les excréments de la reine. Mais là, ça devient complètement fou. Le reste du palais utilisait des pots de chambre jetés dans des fosses septiques sous les étages. Des ouvriers appelés « agriculteurs de gong » devaient ramper la nuit dans des tunnels souterrains, transportant des seaux d’excréments humains dans les couloirs, là même où Élisabeth tenait sa cour.

Et l’odeur ? Les palais brûlaient constamment des herbes (lavandes, romarins, marjolaines) pour tenter de masquer l’odeur nauséabonde des excréments humains. Ils dispersaient des fleurs sur le sol et déposaient de la paille imbibée d’huile. Mais rien n’y faisait. Les sols étaient recouverts de joncs, en fait des tapis médiévaux faits d’herbes et de plantes aromatiques. Mais ils n’étaient pas nettoyés pendant des mois. En dessous s’accumulait saleté, cheveux, restes de nourriture, crachats, vomissures et pire encore. Les ambassadeurs étrangers écrivaient de chez eux que l’odeur infecte et putride les assaillait dès leur entrée dans les palais anglais.

Et le plus malade, c’est qu’Élisabeth ne se contentait pas de vivre avec cette odeur. Elle déplaçait toute sa cour de palais en palais spécialement pour y échapper. Elle fuyait littéralement sa propre saleté. Quand l’odeur des déchets devenait insupportable à un endroit, elle rassemblait des centaines de courtisans et déménageait dans un autre palais, laissant le premier à l’air libre pendant des mois.

Voilà la vérité sur Gloriana. L’Âge d’Or de l’Angleterre reposait littéralement sur des fondations de déchets humains, de maquillage toxique, de dents pourries et d’une reine qui s’empoisonnait lentement, vivant dans des conditions qui provoqueraient la révolte des détenus modernes. Vous connaissez maintenant la véritable vérité sur Élisabeth. Enfin. La Reine Vierge n’était ni propre, ni pure, ni divine. Elle était une manipulatrice hors pair qui a transformé sa propre décadence en une arme de pouvoir.

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