La tombe perdue de Cléopâtre enfin découverte après plus de deux millénaires de recherches — ce que les archéologues ont trouvé à l’intérieur a choqué le monde entier

La tombe perdue de Cléopâtre enfin découverte après plus de deux millénaires de recherches — ce que les archéologues ont trouvé à l’intérieur a choqué le monde entier

La tombe perdue de Cléopâtre enfin découverte après plus de deux millénaires de recherches — ce que les archéologues ont trouvé à l’intérieur a choqué le monde entier

Une découverte archéologique sans précédent sous le temple de Taposiris Magna pourrait enfin révéler le dernier secret de Cléopâtre VII, la dernière reine d’Égypte. Des fouilles menées par l’égyptologue Kathleen Martinez ont mis au jour un complexe funéraire énigmatique qui défie toute explication conventionnelle.

Après plus de deux décennies de recherches obstinées sur un site longtemps négligé à l’ouest d’Alexandrie, une équipe internationale a percé un mystère vieux de 2000 ans. Sous les ruines du temple d’Osiris à Taposiris Magna, un tunnel monumental de plus de 1300 mètres de long a été découvert, menant à des chambres scellées.

Ce qui y a été trouvé dépasse toutes les attentes scientifiques et historiques. Au cœur de ce labyrinthe souterrain, un sarcophage d’un noir poli a été exhumé. À l’intérieur, deux dépouilles enveloppées dans un linceul présentent des caractéristiques d’embaumement uniques et raffinées, évoquant des pratiques réservées à la plus haute royauté.

La figure féminine portait des vestiges de mailles d’or et de lapis-lazuli, ainsi qu’un bracelet en forme de cobra orné de symboles royaux. La présence masculine voisine révèle un traitement thoracique au bitume et au mercure, un mélange rituel extrêmement rare. Un cylindre de bronze scellé, gravé d’une écriture spiralée inconnue, reposait entre eux.

La datation au carbone 14 est en cours, mais le symbolisme et l’emplacement correspondent de manière troublante aux récits historiques sur Cléopâtre et Marc Antoine. L’historien Plutarque écrivait qu’ils furent enterrés ensemble, mais leur tombe n’avait jamais été localisée.

Plus inquiétant encore, une chambre secondaire a été localisée par imagerie sous le sarcophage, émettant une faible interférence magnétique. Puis, un passage étroit a conduit les archéologues vers une découverte macabre et inexplicable : une salle circulaire immaculée.

En son centre, un piédestal portant le symbole de l’ankh. Autour, 36 crânes humains – 12 hommes, 12 femmes, 12 enfants – privés de leurs mâchoires, disposés en cercle parfait et saupoudrés d’une poudre dorée. Des traces de lotus bleu, sacré dans les rites égyptiens, parsemaient les surfaces.

Des inscriptions bilingues en hiéroglyphes et en grec ancien sur les murs proclament : “Ils gardent le passage et maintiennent l’équilibre”. Pour le Dr Martinez, cette configuration n’est pas une simple tombe. “C’est un mécanisme”, a-t-elle déclaré sur place, évoquant une possible fonction rituelle ou symbolique liée aux croyances en l’au-delà.

La théorie de Martinez, longtemps controversée, reposait sur l’idée que Cléopâtre, s’étant identifiée à la déesse Isis, aurait choisi d’être inhumée près d’Osiris, son époux divin. Les artefacts préliminaires (pièces à son effigie, statues d’Isis) trouvés depuis 2005 accréditaient déjà cette piste.

La complexité architecturale du tunnel, d’une précision remarquable pour l’époque, suggère un projet démesuré commandité par le pouvoir. Sa direction vers la côte évoque un “passage sacré”, un chemin symbolique pour le voyage de l’âme vers la renaissance, concept central dans la mythologie osirienne.

La découverte du “cercle des crânes” pose toutefois un défi anthropologique majeur. Aucune pratique funéraire connue de l’Égypte ptolémaïque ou romaine ne correspond à un tel arrangement. Les experts évoquent un rituel inconnu, peut-être plus ancien que Cléopâtre elle-même, réapproprié pour sa tombe.

Les analyses géologiques du site ont révélé une histoire mouvementée : séismes, montée des eaux, dunes mouvantes. Ces bouleversements naturels expliquent comment un tel complexe a pu rester caché si longtemps, protégé par les sables et les eaux du lac Mariout

La communauté archéologique mondiale, alertée par ces révélations, est en émoi. Des spécialistes en épigraphie, anthropologie physique et archéométrie convergent désormais vers Taposiris Magna pour étudier les artéfacts et les inscriptions. Le cylindre de bronze, en particulier, pourrait contenir un texte fondateur.

Les autorités égyptiennes ont placé le site sous haute sécurité, conscientes de sa portée historique et de sa vulnérabilité. Une cellule de crise scientifique a été formée pour superviser les prochaines phases, qui incluront l’exploration de la chambre magnétique encore scellée.

Si l’identité des occupants du sarcophage noir reste à confirmer scientifiquement, les implications sont immenses. Cela offrirait un éclairage tangible sur la fin dramatique de la dynastie ptolémaïque et sur le syncrétisme culturel greco-égyptien qu’incarnait Cléopâtre.

Plus profondément, la structure découverte – avec son tunnel, ses chambres codées et son cercle de gardiens – peint le portrait d’une souveraine obsédée par son héritage éternel. Elle n’aurait pas planifié une simple sépulture, mais un dispositif complexe pour assurer sa transition vers le divin.

La découverte remet en question notre compréhension des pratiques funéraires royales à l’aube de l’ère romaine en Égypte. Elle suggère un niveau de sophistication symbolique et d’investissement architectural qui force une réévaluation du règne et de la personnalité de Cléopâtre.

Alors que l’équipe se prépare à percer le dernier mur scellé, l’attente est à son comble. Le signal magnétique persistant intrigue les physiciens. Pourrait-il s’agir d’un effet géologique naturel, ou d’un artefact placé là pour une raison que nous avons oubliée ?

Une chose est certaine : le désert de Taposiris Magna, qui a murmuré ses secrets pendant des siècles à travers le vent et les dunes tremblantes, est enfin en train de parler. Et son message pourrait réécrire les derniers chapitres de l’Égypte antique.

Le monde retient son souffle, attendant les prochaines analyses qui détermineront si nous avons véritablement retrouvé la reine qui a défié Rome et façonné sa propre légende pour l’éternité. Le prochain chapitre de cette histoire millénaire est sur le point de s’ouvrir.

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